Loi anti-gaspillage et économie circulaire (2020), loi sur la réduction de l’empreinte environnementale du numérique (2021), loi climat et résilience (2021), plan national pour des achats durables (2022) : les nouveaux cadres législatifs ou réglementaires fixant des objectifs ambitieux pour la commande publique se succèdent, et consacrent son rôle pivot et stratégique au service des transformations économiques, visibles dans les territoires. Les achats publics ne visent plus seulement à satisfaire un besoin, mais doivent désormais contribuer à favoriser l’émergence et l’amplification d’une nouvelle offre en ligne avec les objectifs environnementaux et sociaux. C’est un renversement de paradigme, qui impose une relation renouvelée avec les acteurs économiques.
Comment les opérateurs économiques se préparent-ils à ces échéances (2026 pour Climat et résilience), et comment les collectivités peuvent accompagner la structuration d’une nouvelle offre en adéquation avec leurs besoins en tant qu’acheteurs publics et l’exigence environnementale et sociale ? Un premier bilan peut-il être tiré de l’entrée en application de l’article 58 de la loi AGEC ? Peut-il constituer un tremplin pour accélérer et anticiper les échéances à venir ?
Comment les opérateurs économiques se préparent-ils à ces échéances (2026 pour Climat et résilience), et comment les collectivités peuvent accompagner la structuration d’une nouvelle offre en adéquation avec leurs besoins en tant qu’acheteurs publics et l’exigence environnementale et sociale ? Un premier bilan peut-il être tiré de l’entrée en application de l’article 58 de la loi AGEC ? Peut-il constituer un tremplin pour accélérer et anticiper les échéances à venir ?
Lieu de rendez-vous
Centre des congrès
Durée
1h30